lundi 30 novembre 2015

Le sport en France à l'épreuve du racisme - publication comité d'histoire

À la demande de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme,
le comité d'histoire des ministères chargés de la Jeunesse et des Sports a été chargé de réaliser un ouvrage,
édité aux Editions Nouveau Monde, qui s'inscrit dans un plan gouvernemental triennal sur la question du racisme.
Un comité de pilotage constitué de Claude Boli, Patrick Clastres et Marianne Lassus en a dirigé la rédaction et
rassemblé les contributions d'historiens et sociologues.
Préfacé par le ministre Patrick Kanner, l'ouvrage dispose d'une postface rédigée par Jean Durry.

Après les événements tragiques que notre pays vient de traverser, un tel document constitue une ressource
pour la réflexion et l'action en faveur des valeurs de la République.

jeudi 26 novembre 2015

Attentats de Paris : les élus veulent plus de moyens pour l'éducation populaire

Le débat d'orientation générale du Rassemblement des maires a permis aux élus de se projeter dans l'après attentats :
ils ont été nombreux à insister sur l'importance de l'éducation et des politiques jeunesse dans la prévention de la radicalisation.

Pour lire l’article :

lundi 9 novembre 2015

Réglement du Prix Françoise Tétard

Prix “Françoise Tétard” 
Histoire de l’éducation populaire / Histoire de l’éducation spécialisée
**** 1ère  édition : 2016 ****
Règlement
Décerné tous les ans, le Prix Françoise Tétard couronne deux auteur.e.s dont le travail, rédigé en langue française, répond aux critères de la recherche historique.
Les travaux porteront sur l’un ou l’autre des deux champs suivants :
– l’histoire de l’enfance/l’adolescence “irrégulière”, inadaptée, marginale ou marginalisée, maltraitée, abandonnée, en danger ou dangereuse, tant du côté des “publics” concernés (jeunes) que des acteurs (adultes), des politiques ou des institutions socio-éducatives et médico-sociales en charge de ces “publics”, en France ou à l’international ;
– l’histoire de la jeunesse et de l’éducation populaire en France, mais aussi en Europe et dans le monde.
Le Prix Françoise Tétard privilégie la perspective historique ou l’approche diachronique, sans se cantonner à la seule discipline “histoire”. Le jury appréciera le caractère inédit des travaux et l’utilisation de sources nouvelles de caractère biographique ou monographique.
Aucune condition d’âge ou de nationalité n’est requise. Il n’est possible de candidater qu’une seule fois au Prix.
Pour cette première édition (2016), en ce qui concerne les mémoires de master 2, ils devront avoir été soutenus après le 1er janvier 2011 ; les autres recherches proposées (mémoires de DEIS, mémoires de fin d’études, et autres travaux individuels ou collectifs de portée historique) devront aussi être récentes.
Les manuscrits seront adressés en deux exemplaires “papier”, ainsi qu’une version électronique, au plus tard le 31 janvier 2016, accompagnés d’un résumé d’une page et d’un court cv (nom, prénom, date de naissance, adresse postale, adresse électronique, téléphone de la/du candidat.e, éventuellement rattachement institutionnel ou professionnel, et tout autre renseignement qui semblerait utile à la ou au candidat.e).
Adresse postale pour l’envoi des manuscrits :
Prix Françoise Tétard
63 rue Croulebarbe
75013 Paris
La version électronique du manuscrit sous Word (pour la vérification par le logiciel anti-plagiat), strictement identique à la version “papier”, doit être simultanément adressée à :
prix.francoisetetard@orange.fr 
Le Prix Françoise Tétard sera remis aux lauréat.e.s en juin 2016 à Paris à l’occasion d’une demi-journée organisée par les trois associations et le Fonds de dotation.
Le jury du Prix est actuellement en cours de composition et sera prochainement connu.
Le comité de pilotage du Prix est constitué de Laurent Besse (maître de conférences, IUT de Tours), Véronique Blanchard (enseignante-chercheuse ENPJJ et responsable du Centre d’exposition “Enfants en justice”, Savigny-sur-Orge), Samuel Boussion (maître de conférences, Université Paris 8), Dominique Dessertine (ingénieure de recherche, CNRS), Gisèle Fiche (présidente de l’AHPJM), Mathias Gardet (professeur, Université Paris 8), Bernard Heckel (président du CNAHES), Sylvie Humbert (professeure, Université catholique de Lille), Jean-Pierre Jurmand (enseignant-chercheur ENPJJ), Régis Revenin (maître de conférences, Université Paris Descartes), Jean-Jacques Yvorel (enseignant-chercheur ENPJJ).
**** L’affiche du Prix Françoise Tétard est téléchargeable en cliquant sur les liens ci-après : n’hésitez pas à le faire connaître autour de vous ****

jeudi 5 novembre 2015

Exposition 'Dans les coulisses de l'album' - Vernissage vendredi 13 novembre à 19h à Paris


J’invite tous les amateurs d’illustrations, particulièrement celles consacrées
aux oeuvre de littérature de jeunesse, à venir :
soit au vernissage le 13 novembre à 19h,
à la médiathèque Françoise  Sagan
soit durant la période où l’exposition sera présentée (jusqu’au 31/01/2016)


Denise Barriolade, présidente du CRILJ qui fête ainsi ses 50 ans !


Parution des Cahiers Robinson n°38, Civiliser la jeunesse




Ce numéro est issu des travaux menés en 2013 lors du colloque de Cerisy-la-Salle,

Littérature de jeunesse et configuration des mœurs.

CIVILISER LA JEUNESSE
Si les éducateurs ont toujours espéré « civiliser » les jeunes gens par la fiction, ces derniers revendiquent une liberté de choix et de jugement. La question des valeurs ne s'en pose pas moins, mais les nouvelles formes de récit se veulent plus ouvertes, en donnant l'occasion de les découvrir par soi-même et de les choisir. D'autre part, la prétention de dire avec certitude où est le Mal a été frappée de plein fouet par l'ère du soupçon. La réaction morale n'en veille pas moins sous différents visages, mais elle apparaît en décalage avec l'usage essentiellement récréatif qui est fait de ces productions. Lecteurs et spectateurs en herbe continuent malgré tout de puiser dans leurs loisirs culturels d'instructives leçons de vie. Les diverses contributions ici rassemblées illustrent les paradoxes liés à ces questions : ces récits forment-ils la jeunesse ou nous informent-ils sur elle ? Et ne nous en disent-ils pas autant sur la société des adultes ?